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Un film magnifique et envoutant.Albert G. Nigrin, directeur du festival international du New Jersey (USA)
ils en parlent
Jean-Philippe Cazier, DIACRITIK
Vivianne Perelmuter ne filme pas des rues, des visages, des personnes mais les mondes multiples ou la multiplicité du monde qu’ils impliquent.
Elle ne filme pas une errance mais la logique des possibles qu’ouvre cette errance.
Elle ne filme pas une chevelure mais l’affirmation de tous les possibles de cette chevelure.
Elle ne filme pas le métro mais les mondes multiples qui s’y agitent, y coexistent.
A chaque fois le chaos du monde…
Filmer ce qui échappe au pouvoir, ce qui résiste à une certaine politique de l’image et du monde.